Rencontre (p.v. Abnar,neutre )

Winnar rentra dans la tour d'Abnar et l'appella par télépatie.
Ne le voyant pas arriver elle continua de lappeler jusqu'a ce quil arrive .

''qua tu dit a Amerius pour le mettrre comme ca cria telle em meme tenps quelle lappelais.

Abnar apparut, les sourcils froncés. Comment ce Chevalier osait-il lui parler de la sorte. Il regarda la jeune femme, son regard froid planté dans le sien. On pouvait très bien voir son mécontentement. Il allait parlé à Erwan de la façon dont parlait ses Chevaliers. Ils manquaient d'une bonne dose de respect. Ce que cette Winnar n'avait pas.

"Si vous êtes pour parler sur ce ton Chevalier, rebroussez chemin. Je n'écouterai aucun de vos mots dans cet état." Dit-il de sa voix froide habituelle malgré les paroles tout de même sage.

*Si les mortels commencent à penser à dicter aux Immortels leur conduite, mais où va le monde. Ces Chevaliers ne changent guère. Bien qu'il y en a qui sont mieux que d'autres...*

Il se rappelait son passé. Sincèrement, il n'aurait jamais du accepter d'aider les humains. Ils étaient ingrat et se fichait totalement de ce que l'on pouvait faire pour eux. Ses pensés étaient bien évidemment protégé de la jeune femme.

Se rappelant quil ne fallait pas offusquer un immortelle elle se racheta:

'excuser Maitre Abnar mais je netait pas contente mais maintenant sa va mieux Est-ce que vous pouver me dire se que vous avex dit A Amérius pour quil soit si offusquer jai essayer de le reconforte mais je ne sais pas se quil avait il ne voulait pas me le dire il ma dit de venir vos voir pour savoir se qui setait passer.Ets-ce que vous aller me le dire?? Je peut attendre quand vous serer pret a me le dire mais je ne vous presse pas.''

Winnar attendit sa reponse et rebroussa chemin voyant que sa demarche avait echouer elle salua Abnar comme e voulait la tyradition.

'' Aurevoir maitre Abnar''

Il eu un soupir d'exaspération.

"Si vous seriez venue me le demander sans brusquerie, j'aurai peut-être été plu enclin. Puisque vous êtes décider à mettre le nez dans ce qui ne vous regarde pas vous allez venir vous asseoir, m'écouter et ne plus bouger jusqu'à ce que je prenne congé de vous."

Fit sa voix froide. Il avait son regard glacial planter sur le dos de la jeune femme. Elle voulait savoir, très bien. Par contre, Erwan allait en entendre parler c'était certain. Les Chevaliers s'occupaient d'Irianeth et non des pauvres petits Immortels arrogants.

*Il va falloir que je parle à mes supérieurs.*

Quelque chose n'allait vraiment pas. On lui avait envoyé un gamin de 13 ans pour l'appuyer contre Irianeth. Pitoyable.

Winnar avait peur de se faire exclure de la bande des chevalier alors ele demanda a Abnar quelque chose:

''Abnar si vous me le dites est -ce que vous aller le dire a Erwan??

Esperant qu'il nallait pas dire oui elle alla sassoi et attendit sa reponse et rajouta:

''Si vous aller le dire a Erwan je ne veut pas savoir se que vous avez dit a ce jeune et je ne vous derange plus jamais a moins que se soit une urgence bien sur.''

Attendant se quil allait dire elle priait son dieu de laider.

Abnar leva es yeux au ciel.

"Mêlez-vous de vos affaires, mais si ça peut vous rassurer, je ne parlerais pas de vous en particulier à Erwan et maintenant que vous avez fait le geste de trop, vous ne repartirez pas d'ici."

Fit-il d'un air glacial. Bon, elle s'était assise. Manquait plus qu'à raconter l'histoire.

"Amerius ne vous avait-il pas dit qu'il voulait devenir Immortel protecteur des humains? Ça m'étonne. Je vois encore plus son arrogance par le fait qu'il vous a envoyé à moi sans daigner vous répondre. Ce petit n'a que treize ans et veut déjà se fourrer le nez dans ce qui ne le regarde pas. À cette âge-là, aucun Immortel digne de ce nom peut avoir une aussi grande responsabilité. Il ne peut pas non plus défendre convenablement ses protégés, car plus on est jeune, plus nos pouvoirs sont limités. Avec l'âge vient la puissance. Et avec l'arrogance qu'il a, il ne tiendrait pas longtemps dans ce monde. Il est encore trop immature pour participer à la protection d'Enkidiev. Il aurait eu dix en de plus déjà que j'aurai été moins dur."

Il arrêta.

"Contente? Vous pouvez partir maintenant."

Dit-il sans plus la regarder.